L'apothicaire de Molière

Monsieur de Pourceaugnac ; © FDD
Monsieur de Pourceaugnac
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On pourrait penser que Molière n’utilise guère les remèdes dont il se moque. Cependant, son inventaire après décès mentionne « une seringue à lavement avec son étui », qui permet de déduire que la famille Molière a usé du clystère. Même si « les remèdes qu’il faut prendre me font peur », Molière fait exécuter pour lui ou pour les siens, à la fin de sa vie, de nombreuses ordonnances car il doit, au moment de sa succession, la somme de 63 livres et 14 sols à Frapin et 26 livres et 10 sols à Dupré, deux apothicaires privilégiés.