Bibliophilie

Ricettario Fiorentino, 1574 ; © FDD
Ricettario Fiorentino, 1574
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Pharmacopée des pauvres, 1763 ; © FDD
Pharmacopée des pauvres, 1763
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Pharmacopée d'Edimbourg, 1736 ; © FDD
Pharmacopée d'Edimbourg, 1736
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Pharmacopée de Leyde, 1718 ; © FDD
Pharmacopée de Leyde, 1718
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Pharmacopée lilloise, 1694 ; © FDD
Pharmacopée lilloise, 1694
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Antidotarium de Jean de Renou, 1608 ; © FDD
Antidotarium de Jean de Renou, 1608
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Pharmacopée du Wurtemberg, 1760 ; © FDD
Pharmacopée du Wurtemberg, 1760
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Pharmacopée de George Bate, 1703 ; © FDD
Pharmacopée de George Bate, 1703
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Pharmacopée royale galénique et chimique, 1676 ; © FDD
Pharmacopée royale galénique et chimique, 1676
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Pharmacopée, 1653 ; © FDD
Pharmacopée, 1653
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Guide de Paul Barbette, 1669 ; © FDD
Guide de Paul Barbette, 1669
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« À l’époque romaine il existe deux sortes de livres : le volumen, qui se présente sous la forme d’un rouleau enroulé autour d’un bâton et le codex, formé de feuilles assemblées et qui ressemble à un livre actuel. À l’origine le terme latin codex signifiait aussi bien la tablette à écrire que livre ou registre… Le mot codex évolue et subit une spécialisation pour désigner un recueil de lois et par extension désignera par la suite une pharmacopée. » (Dictionnaire d’histoire de la pharmacie. – Paris : la Société d’Histoire de la Pharmacie, 2003)

La Pharmacopée, selon la définition du même dictionnaire, « est un recueil de formules pharmaceutiques, décrivant les remèdes à employer et la façon de les préparer ».

Les ouvrages anciens de pharmacie sont des ouvrages dont l’édition est antérieure à 1801. Durant de nombreuses années, les collectionneurs n’accordèrent pas ou peu d’intérêt à ces ouvrages scientifiques qu’ils considéraient avant tout comme des outils de travail. Il est vrai que leurs reliures sont modestes et qu’elles ne présentent pas l’attrait des maroquins fleurdelisés qui habillent le plus souvent les textes classiques. Depuis quelques temps, le processus s’est inversé et un réseau d’amateur s’est constitué. Certaines éditions sont devenues rares voire introuvables, d’autres sont extrêmement cotées sur le marché et plus particulièrement les éditions des XVIe et XVIIe siècles richement illustrées. Portrait de l’auteur en regard de la page de titre, frontispices, vignettes, bandeaux, culs de lampes et lettrines agrémentent et documentent la lecture. Les allégories, les attributs et les symboles des pages de titre, sont autant d’images polysémiques qui attendent de nous livrer leurs secrets.